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Au-delà des fantasmes et des buzz words, comment fonctionnent les conteneurs ? Fort de 10 années d’expérience sur des postes de DevOp, CIO, SRE… Mikaël Robert, SRE chez Fasterize, s’exprime sur Docker au cours d’un meet-up tourangeau le mardi 5 mars à 19h.

Son intervention “Docker, the good, the bad and the ugly” est l’occasion de faire le point sur ce qu'est réellement Docker, ses possibilités, mais aussi les difficultés qui peuvent l’accompagner ainsi que ses mauvaises utilisations.

Docker et les conteneurs de données : un changement de paradigme

Après le passage des serveurs physiques aux machines virtuelles, nous voilà à l’ère des conteneurs. Et raisonner “conteneur” nécessite de revoir totalement notre façon de penser, c’est un changement de paradigme complet !
Docker permet un découpage encore plus fin de l’infrastructure, facilite scaling et down-scaling pour absorber des pics de charge en un temps record, mais il apporte aussi de la complexité.

En somme, ce n'est pas l'outil qui va sauver le monde. Il y a un “ticket d’entrée” et une courbe d’apprentissage à envisager avant de se lancer.

La souplesse et l’élasticité des briques

Si les conteneurs apportent beaucoup de souplesse, d'élasticité et de granularité, ils font émerger de nouvelles problématiques : exit le serveur qui fait tout, il faut dorénavant penser en termes de briques dédiées à une fonction qui s’articulent les unes avec les autres.
Fini le temps où on pouvait aller sur un serveur pour modifier un bout de code, car avec Docker, serveur et application sont packagés et immuables. On va alors vers ce qu’on appelle “l’infra immuable”, notion que Mikael aborde plus en détails pendant ce meet-up.

Téléchargez la présentation complète ici :

Docker, the good, the bad and the ugly